L’équipe de rédacteurs de magazine-assurance à votre service ! Nous nous penchons sur toutes les informations possibles et imaginables sur les assurances afin de vous aider à faire le tri. Nous nous efforçons de vous offrir des articles de qualité afin de vous aider à mieux appréhender les enjeux de telle ou telle assurance.
L’assurance vie est un produit aux multiples facettes et doit correspondre au réel besoin du souscripteur. En tant que produit d’épargne, il demande de la part du gestionnaire un grand professionnalisme et capacité de gestion. Les contrats sont divers en forme et dans leurs buts poursuivis. Le consultant informatique en assurance vie intervient pour parfaire toutes les démarches administratives et légales permettant la dispense d’une assurance vie intéressante.
« Sauvons plus de vies sur nos routes ». C’est la phrase qu’il fallait retenir du Premier Ministre Edouard Philippe lors de son allocution du 9 janvier 2018. C’est ce jour même que son gouvernement a présenté de nouvelles mesures de sécurité routières afin de sensibiliser les automobilistes et les motards aux dangers de la route. Alors quels sont les chiffres des motards tués sur la route et pourquoi le gouvernement insiste sur la réglementation de l’assurance moto ? C’est ce que nous allons voir au travers de cet article !
2017, une année meurtrière sur les routes !
Si le Premier Ministre Edouard Philippe a choisi ce début d’année pour faire son allocution sur les nouvelles mesures de sécurité routière, c’est certainement en réaction suite à la publication de chiffres alarmistes concernant le nombre de personnes tués sur les routes françaises. En effet, 2017 est une année particulièrement meurtrière en France avec pas moins de 3477 morts sur la route. Un nombre en constante hausse depuis 2013. Avec ces chiffres, la France se place comme une mauvaise élève de l’Europe puisqu’elle compte plus de tués sur la route que la Belgique, la Suisse, l’Espagne ou encore la Suède et la Norvège.
De nouvelles mesures prises pour la sécurité des conducteurs et motards
Face à ces chiffres alarmistes, le gouvernement d’Edouard Philippe a dévoilé des mesures de limitations de vitesse qui ont beaucoup fait réagir sur les réseaux sociaux, au premier rang desquelles figure une nouvelle limitation de vitesse qui entrera en vigueur le 1er juillet 2018. La nouvelle réglementation limitera donc la vitesse à 80 kilomètres/heure sur les axes routiers secondaires contre 90 kilomètres/heure actuellement en vigueur.
En plus de cela, le gouvernement prévoit 4 nouvelles mesures pour baisser la mortalité qui touche les motards :
Autorisation d’allumer les feux de brouillard en plein jour dans l’optique d’être plus vite repéré par les automobilistes sur la route ;
Sensibilisation des jeunes motards quant à l’usage de meilleurs équipements, notamment en termes de combinaison ;
Révision des modalités d’obtention du permis motard ;
Mise en place de rendez-vous pédagogique avec les parents de jeunes motards mineures.
L’assurance moto, un indispensable de tout motard !
Autre point mis en avant par les chiffres de sécurité routière 2017, une minorité grandissante de motards circulerait sans assurance moto. Un constat qui inquiète les autorités quand on sait qu’avec 734 motards tués en 2017, ils représentent à eux seuls 21% de la mortalité routière !
Parmi les garanties de base proposées par l’assurance moto, on compte :
Une responsabilité civile pour réparer les dommages matériels et corporels causés à des tierces personnes ;
Une garantie couvrant les dommages corporels du motard en cas de blessure ou d’incident ;
Une assistance 24/7 en cas de panne ou d’accident.
A cela, s’ajoute des garanties complémentaires auxquelles on peut souscrire au travers d’une assurance moto tout risque, à savoir :
Une garantie bris de glace en cas de dégradation de votre véhicule par un tiers ou lors d’un sinistre quel qu’il soit ;
Une garantie sur l’équipement du motard que ce soient ses bottes, sa combinaison, son pantalon, ses gants, etc. ;
Une dernière garantie sur le casque, pièce maîtresse de l’équipement du motard et qu’il convient de changer dès lors qu’un accident suivi d’une chute survient.
Nous espérons que les détails sur l’importance de l’assurance moto et les raisons pour lesquels le gouvernement y attache une telle importance sont plus clairs pour vous. A très bientôt pour de prochains articles dédiés à l’actualité de l’assurance moto !
De nos jours, il est possible de trouver un crédit auto modique de façon plus simple. Il suffit de chercher parmi les offres en ligne. Et pourtant, force est de constater que toutes les offres ne sont pas équivalentes. Il faut ainsi se faire aider par un site dédié pour mettre la main plus facilement sur la meilleure offre. En ce sens, des plateformes dédiées comme CreditVehicule.fr ont été conçues pour rendre les tâches beaucoup plus simples. Cependant, il reste toujours quelques emprunteurs qui n’arrivent s’en sortir, et pour qui la recherche n’est pas une mince à faire. Alors, vous qui êtes notamment dans ce genre de situation, voici quelques indications qui peuvent vous être utiles.
Les critères à prendre en compte pour bien choisir le crédit auto
Pour bien choisir votre contrat de crédit auto, vous ne devez pas comparer votre situation à ceux des autres emprunteurs. Les TAEG ne sont pas les mêmes d’un particulier à un autre. En d’autres termes, un prêt-auto est personnel.
Afin d’être sûr de faire le bon choix, vous devez savoir évaluer vos besoins et vos possibilités. Les simulations en ligne peuvent vous aider en ce sens.
Attention, un crédit auto vous engage. Ainsi, vous devez savoir faire la part des choses pour éviter le surendettement.
Leasing ou crédit à la consommation ?
Dans la majorité des cas, les Français préfèrent recourir à un crédit à la consommation pour le financement de leur projet. Cela leur permet de mieux gérer leur compte. Mais il faut dire que les banques sont de plus en plus exigeantes quant à la qualité des profils emprunteurs qui peuvent aspirer à ce genre de prestation. Notamment, si vous n’avez pas une possibilité d’endettement de 30 %, les chances d’obtenir un prêt sont assez minces.
C’est la raison pour laquelle le leasing a de plus en plus le vent en poupe. Une sorte de crédit avec option d’achat ou de location vente d’une voiture, ce genre de service permet d’étaler le prix d’achat de la voiture sur plusieurs années et à des taux minimes. Tout ne dépend plus que de vos envies.
Le crédit renouvelable pour financer l’achat d’une voiture
Il est également possible de recourir à un crédit renouvelable pour le financement de sa nouvelle voiture. C’est une option plus simple, et plus rapide surtout que les constructeurs ou concessionnaires automobiles proposent des facilités de paiement actuellement. Vous avez ainsi la possibilité de payer petit à petit, par mois, vos quatre roues.
Cependant, plus votre crédit dure, plus vous payerez en taux d’intérêt. Et c’est le risque avec un crédit renouvelable. Si vous avez besoin de faire des réparations importantes, ou d’acheter un nouveau véhicule de grande marque, cette solution peut vous conduire à la ruine. Car plus vous aurez besoin du temps en remboursement, la somme octroyée mensuellement étant infime. Plus de détails,www.complement-de-revenu.guide
Ainsi, la meilleure façon de financer l’achat d’une nouvelle voiture, c’est de s’y préparer bien à l’avance, mettre de l’argent de côté, pour avoir la somme suffisante à l’acquisition ou faire un apport personnel à la banque.
Souvent considéré comme facultatif, l’apport personnel n’en demeure pas moins un critère facilitant l’obtention d’un crédit immobilier. La banque de France souhaiterait mettre en place un plafonnement du ratio prêt-valeur (LTV) pour sécuriser les emprunts. Cela permettrait d’écarter les ménages les moins solvables et d’éviter les spéculations immobilières.
Une garantie financière pour les prêteur
Fonds propres issus de l’épargne des particuliers, l’apport personnel permet d’acquérir des biens en complément d’un prêt immobilier. Bien qu’il soit facultatif lors d’un emprunt, les banques privilégient ce facteur dans l’ensemble des demandes qu’elles traitent. Elles y voient une garantie supplémentaire de la bonne gestion financière des comptes du client et une somme réduite à prêter.
L’autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a estimé qu’en moyenne l’apport personnel représentait 14 % du montant du bien. Un chiffre supérieur à leur précédente exigence qui fixait le taux de cet apport à 10 %, sans inclure les frais de notaire et autres dépenses liées.
Cependant, les conditions d’emprunt particulièrement favorables de ces derniers mois incitent les banques à être moins strictes concernant ce critère. Des circonstances qui poussent la Banque de France à se poser la question de la nécessité de l’apport personnel.
Anticiper les crises immobilières par l’apport personnel
La réflexion de la Banque de France au sujet de la nécessité de l’apport personnel a pour but d’endiguer la spéculation immobilière. En effet, compte tenu des taux du prêt immobilier bas ces derniers temps, de nombreux particuliers peuvent vouloir franchir le pas. Et ce même si leur taux d’endettement dépasse le plafond des 33 % accordé par les banques.
Afin d’éviter cela, l’institution souhaiterait instaurer le plafonnement de l’apport personnel comme cela est déjà le cas dans d’autres pays européens. Ce plafonnement du ratio prêt-valeur (LTV) impacterait le nombre de crédits immobiliers accordés par les établissements de prêt, étant donné que les ménages présentant des risques seront exclus.
De ce fait, certains frondeurs estiment que cette mesure pourrait réduire la croissance du marché immobilier. Toutefois, s’il y a une baisse du volume d’emprunts, les prix des biens devraient s’adapter en conséquence et donc diminuer. In fine, cela pourrait profiter aux ménages ne pouvant bénéficier d’un prêt immobilier, leur épargne pouvant répondre à leur besoin d’apport personnel. Un scénario intéressant, mais dont l’ampleur est encore à démontrer.
La sécurité est essentielle dans une maison. La mise en place d’un système de vidéosurveillance permet de décourager les voleurs. Cela vous permet de vous sentir plus serein et en sécurité dans votre maison. L’un des avantages offerts par ce genre de système de surveillance est la possibilité de payer moins cher sur l’assurance habitation.
Une assurance habitation abordable
La télésurveillance commence à prendre de l’ampleur en France. Elle permet de dissuader le voleur et décourager les actes de vandalisme. Les compagnies d’assurance ont compris l’enjeu d’installer des enregistreurs vidéo dans la maison. Ce type de dispositif de sécurité réduit les vols et les vandalismes, et renforce la sécurité dans votre maison. Les occupants se sentent plus en sécurité. Les assureurs proposent une réduction pour les clients qui optent pour l’installation d’un système de vidéosurveillance au sein de l’habitat. Ainsi, l’assurance habitation de votre appartement peut être revue en baisse. Il faut savoir que le rabais octroyé par les assureurs est vraiment très intéressant. Vous pouvez profiter d’une réduction jusqu’à 15 % de la cotisation. Certaines compagnies proposent même de supprimer la franchise habitation. Les assureurs vont plus loin en simplifiant l’accès à ce genre de système de sécurité.
Le Système de vidéosurveillance est-il obligatoire ?
Même si l’assurance habitation est obligatoire, la mise en place d’un système de télésurveillance ne l’est pas. Toutefois, il est possible que son installation soit imposée. En effet, l’efficacité des systèmes de vidéosurveillance justifie le fait qu’ils sont essentiels pour la sécurité de la maison. Ainsi, au moment de la souscription à un contrat d’assurance habitation, l’assureur peut demander l’installation d’un système de vidéosurveillance dans votre logement. Ce genre de cas de figure peut se produire quand la compagnie estime que le risque de cambriolage de votre maison est élevé. Si vous ne répondez pas à l’exigence de la compagnie d’assurance, le montant de l’indemnisation peut être réduit et vos droits de garantie risquent d’être annulés. Vous avez l’embarras du choix en ce qui concerne le système de télésurveillance conecticplus. Vous pouvez opter pour la caméra dôme, HD, infrarouge, motorisée, etc.
Les conditions pour que la vidéosurveillance soit imposée
La sécurité de la maison est devenue à l’heure actuelle une priorité pour les propriétaires. Votre compagnie d’assurance vous impose l’installation d’un système de télésurveillance à condition que vous possédiez des meubles et des objets de grande valeur dans votre maison. La pose d’un système de vidéosurveillance est parfois imposée au moment de la souscription à une assurance habitation au cas où vos voisins seraient à proximité de votre habitation ou si votre logement se trouve dans une zone sensible et facile d’accès. Notez que même si la télésurveillance a un coût, elle offre de nombreux avantages, notamment la possibilité de réduire le montant de votre assurance habitation. Pensez à comparer les devis avant de souscrire à une assurance.
C’est un constat qu’ont fait de nombreux emprunteurs ayant fait racheter leur prêt immobilier ou ayant bénéficié d’un regroupement de leurs emprunts, l’assurance représente parfois le coût le plus important du financement. Lumière sur ce marché juteux et pas toujours en accord avec les besoins de l’emprunteur.
Un taux de crédit bas peut cacher une assurance coûteuse
L’assurance emprunteur n’est aucunement une obligation en France, c’est simplement fortement conseillé, mais autant se le dire, sans assurance, aucune banque n’est prête à accorder un financement sauf si une garantie très solide est proposée en retour. Aussi, la baisse des taux constatée en 2016 et prolongée sur l’année 2017 a entrainé une vague de renégociation de crédit et de rachat de prêt immobilier sur l’Hexagone. Simplement, les taux étant très bas et les marges des banques étant aussi réduites, ces dernières ont dû trouver des parades pour faire face à ce manque à gagner et l’assurance est le produit parfait pour faire de la marge. Les banquiers ont donc profité de l’occasion pour attirer des emprunteurs et leur proposer le taux le plus bas, mais ces derniers focalisés sur le taux du crédit en ont oublié le taux de l’assurance. Conséquence, de nombreux emprunteurs se sont targués d’avoir négocié le taux le plus bas, à la limite des seuils des taux d’usure, mais ont bénéficié de couvertures à des tarifs très élevés, sans s’en rendre compte. Résultat, l’opération n’est plus si intéressante que cela, mais rien n’est perdu puisqu’il est encore possible de négocier une assurance moins chère, notamment depuis l’amendement Bourquin qui propose la résiliation d’assurance (voir ici).
Résiliation d’assurance de prêt : fonctionnement
Un emprunteur ayant une assurance de prêt ne convenant pas à ses attentes ou étant trop chère peut résilier cette dernière sous deux conditions. La première concerne la première année de souscription, il est possible pendant ces 12 mois de changer d’assurance pour une couverture proposant au minimum les mêmes garanties, c’est ce que propose la loi Hamon. La seconde est plus récente, issue de l’amendement Bourquin, elle propose une résiliation à chaque date anniversaire, sous condition d’adresser une lettre de résiliation deux mois avant la date échéance, l’idée étant de pouvoir changer de couverture suite à des abus, mais aussi pour relancer le marché de l’assurance et la concurrence sur ce secteur. Pour les emprunteurs ayant souscrit des assurances très chères lors de leur renégociation de crédit immobilier, ou de rachat, ils peuvent désormais se délecter de cette couverture en faisant appel par exemple à une compagnie d’assurance ou à un courtier spécialisé. Comme toute demande de tarification, il est essentiel de comparer le coût des deux offres en se basant sur le coût total restant dû, mais aussi sur le TAEA (taux annuel effectif de l’assurance) que l’on peut assimiler au TAEG sur les taux de crédit.
Pour faire une demande de rachat crédit, à l’image de tous les autres types de crédit, il faut s’adresser exclusivement à un établissement de crédit : une banque ou encore un organisme spécialisé. La procédure de souscription est soumise à certaines étapes préalables.
Se renseigner et comparer les offres avec un simulateur
Avant de contacter les banques et les organismes de crédit, il est préconisé de se renseigner sur les conditions et les modalités de leurs offres. Il faut savoir que chaque établissement dispose d’une proposition de crédit qui lui est propre, avec des offres et des taux d’intérêt toujours distincts. Bien évidemment, s’agissant d’un rachat de crédit, nombreux s ont ceux qui préfèrent s’adresser à la banque qui leur est déjà familière. Cependant, toujours est-il qu’il est plus judicieux de les taux les plus bas. Ainsi, l’emprunteur pourra se réserver une petite marge de manœuvre, tout en s’assurant de pouvoir rembourser l’emprunt.
Pour ce faire, des simulations de prêts sont disponibles sur plusieurs sites des établissements de crédit. À travers cette simulation, vous serez informée du taux requis pour la totalité de votre rachat de crédit et de la durée du prêt. Cette simulation n’engagera en rien l’emprunteur, il lui servira uniquement de devis pour se situer et pour choisir au mieux l’offre qui lui conviendrait.
Par ailleurs, les résultats de cette simulation seront similaires aux données recueillies par l’établissement après avoir elles-mêmes réalisé la simulation. Pour en savoir plus, il suffit de se renseigner sur les sites des banques et des établissements financiers.
L’offre de rachat de crédit : ce qu’il ne faut pas manquer
Le rachat de crédit est un système mis en place pour accompagner l’emprunteur surendetté afin qu’il puisse retrouver une stabilité financière. Dans certains cas, il est même question de lui permettre de faire des économies. Mais pour ce faire, il faut faire preuve d’une certaine vigilance dans le processus.
Le rachat de crédit consiste essentiellement en un regroupement de plusieurs crédits souscrits en un seul. La vigilance doit alors se porter en particulier dans le cadre de la restructuration des crédits. Les prêts en cours, souvent, seront restructurés suivant de nouveaux paramètres, qui vont englober la nouvelle mensualité, le taux unique proposé et le nouveau délai de remboursement. Le principe est simple, pour que l’opération reste avantageuse, le capital ne doit pas être beaucoup trop élevé, sinon, le risque est grand de voir l’emprunteur aller vers une situation d’endettement encore plus profonde que la précédente.
Le nouveau délai proposé peut également être un piège. Le délai ne doit pas être trop long bien que prolongé. Une fois que le délai est trop étendu, sachez que le capital à rembourser va se renflouer. Et enfin, les frais mériteront également réflexion et calcul. La règle veut que ces frais soient intégrés dans le processus de la restructuration.
Le plus souvent, afin d’éviter de jouer sur les enjeux du rachat de crédit, il est préférable de recourir aux outils de simulations proposés par les sites d’établissement financier.
Comprendre le contrat d’assurance-vie dans tous ses détails
Un contrat d’assurance-vie se décline en une convention par laquelle un assureur s’engage auprès de l’assuré, en contrepartie du paiement de primes, à verser un capital ou une rente dans le cas de vie ou en cas de décès d’une personne désignée, (généralement, l’assuré) au bénéfice de l’adhérent ou d’un tiers (soit le bénéficiaire). L‘assurance-vie est un moyen de faire fructifier un patrimoine financier. Il peut également être un moyen de constitution d’un nouveau patrimoine, via des versements libres ou pré établis. Il faut savoir que l’assurance-vie jouit d’un cadre fiscal avantageux, tant en investissement financier qu’en droits de succession.
Les différents frais requis par l’assurance-vie
Lors du versement, l’assuré doit choisir sur quel type de fonds il va déposer ses économies, soit le fonds garanti ou les Unités de Comptes. De son côté, l’assureur va prélever des frais. Il s’agit des frais sur versement, également appelés frais d’entrée. Ces frais peuvent être compris entre 0%, pour les meilleures assurances vie, et 5%, pour les plus chères. Dans la pratique, les frais sur versement font diminuer le montant de l’épargne réellement investi sur l’assurance-vie. Aussi, les sommes investies en tant qu’assurance-viesubiront chaque année des frais de gestion. Ces frais rémunèrent l’assureur de sa prestation de gestion de l’épargne. Ils peuvent être compris entre 0,4% et 1%. De tels frais de gestion font diminuer l’épargne sur l’assurance-vie.
Un contrat d’assurance-vie moins chère via un comparateur d’assurances
L’assurance-vie, en tant qu’outil d’épargne et de transmission du capital, est tout simplement le placement préféré des Français. Comme il propose différents types de produits et contrats, tout en étant un contrat complexe, trouver le contrat le moins cher passe inexorablement par un comparateur d’assurances. Un tel outil permet de comparer gratuitement les contrats d’assurance-vie de plusieurs assurances. Pour ce faire, il faut remplir un questionnaire d’assurance-vie, qui ne prendra que 2 minutes. Aussi, souscrire un contrat d’assurance vie moins cher à travers Internet occasionne des frais nettement moins élevés. Par contre, la souscription d’un contrat d’assurance-vie avec un conseiller impliquera le paiement des frais de gestion, inexistants pour les contrats Internet.
L’assurance-vie sur Internet ou comment bénéficier d’une qualité de conseils
Sur Internet, la souscription à un contrat d’assurance-vie est réglementée par le Code des Assurances. De véritables experts conçoivent et réalisent une vraie analyse et consultation du dossier d’assurance-vie. Aussi, les contrats d’assurance-vie proposés sur Internet offrent et proposent les mêmes garanties que les contrats signés en agence. La rentabilité de tels contrats paraphés sur le Web provient surtout des frais d’entrée inexistants. Aussi, les contrats d’assurance-vie sur le Net affichent des rendements pouvant atteindre les 4,1 % si pour les contrats traditionnels, ils rapportent dans les 3,2 à 3,4%. De toute évidence, le contrat d’assurance-vie sur Internet revient à la fois moins cher, pour être davantage rentable. Et pour le faire revenir moins cher, le futur assuré doit comparer les offres multiples existantes sur le marché.
L’assurance animale a des beaux jours devant elle selon les derniers chiffres. La France est un pays de domestication.
60 millions d’amis
C’est sans doute l’un des caractéristiques des Français, ils aiment les animaux. Ils aiment élever les chiens et les chats. Et depuis quelque temps, d’autres races sont venues embellir les familles. Les chiffres sont sans équivoque. Il y a plus de 20 millions de toutous et de matous habitant dans les foyers du pays selon www.unilia-mutuelle.fr. De plus, ces derniers leur réservent une belle part du budget familial. Jusqu’à réserver un cadeau de Noël pour la boule de poils ou de lui offrir une belle fête d’anniversaire comme un vrai humain. Et cela n’est rien à côté des entretiens et des soins vétérinaires. Sur ce point, les propriétaires n’hésitent pas à faire le maximum. Dans le secteur de l’assurance animale, c’est presque la même tendance. Le marché de la mutuelle pour animal est en train de pointer vers le haut. Avec une croissance de 25 %, le rythme est de plus en plus soutenu. D’ici une dizaine d’années, les compagnies d’assurance se frottent déjà les mains face à leur prévision. Sur le marché, des compagnies se spécialisent uniquement dans cette filière. Les spécialistes de la couverture animale ont bien raison. Les chiffres sont encore loin de ce qui se passe chez les voisins européens. Par exemple, en Suède, 80 % des animaux domestiqués sont soumis à une assurance. En Angleterre, 50 % des animaux de compagnie sont souscrit à une mutuelle. Chez ces pays, l’assurance familiale concerne aussi l’assurance animale. Dans la maison, bipède et quadrupède logent tous dans la même mutuelle.
Les nouveaux venus
L’évolution de l’assurance animale se tourne vers d’autres espèces. Les chats et les chiens ont déjà leur niche. Les chevaux, ce n’est plus compliqué de le couvrir. L’avènement des animaux exotiques a changé la donne. Le furet, le lapin, le cochon d’Inde et le chinchilla occupent le haut du pavé. Ces espèces sont de plus en plus célèbres auprès des familles. Comme le lapin qui est passé du stade de plat des bonnes ripailles à une boule de poil devenue membre de la famille. Chose étonnante, la poule est en train de prendre de l’ampleur dans le marché de la couverture. Et chose encore plus étonnante, les assureurs offrent des mutuelles pour ces types d’animaux. C’est dire, les mœurs animalières ont évolué en quelques années. Des récentes études ont permis de lire la structure familiale française à travers la possession d’untel ou untel animal. Tout d’abord, il y a plus de 60 millions animaux domestiques en France. Soit une famille sur deux possède une bête de compagnie. Le poisson est le plus prisé. Car facile à élever et ne nécessitant pas beaucoup de dépense. Sauf pour les élevages plus élaborés comme dans les aquariums ou les grands bassins. Ainsi, les chiens se retrouvent souvent dans les familles avec papa, maman et enfant. Toujours selon les spécialistes, un animal élevé à la campagne serait plus épanoui qu’un animal élevé dans les grandes villes.
La Birmanie reste une destination de choix pour passer des vacances passionnantes à condition de prendre la peine de bien organiser son séjour. En effet, la réussite d’une escapade au Myanmar en toute sérénité repose sur une bonne connaissance des réalités sur place, mais également par la bonne planification d’un circuit. Le recours à une assurance voyage lors de vos vacances en Birmanie est aussi une étape recommandée. Bon nombre d’établissements vous proposeront leur prestation à ce sujet. Mais en fait, pourquoi opter pour ce type de contrat ?
Une assurance voyage pour un séjour serein
L’assurance voyage est un document qui mérite toute l’attention des voyageurs qui partent à l’étranger. Elle représente de nombreux avantages qui sont à considérer avec un très grand intérêt. En premier lieu, l’assurance voyage tient les voyageurs à l’abri de difficultés financières lors de leur séjour si un accident ou une maladie survenait. Il faut effectivement ne pas oublier que les risques que de telles choses arrivent ne peuvent jamais être totalement écartés. Les incidents mentionnés peuvent aussi bien affecter le souscripteur du contrat, un de ses compagnons de voyage ou encore dans certains cas, une tierce personne.
Les frais de soins sont entièrement ou en partie pris en charge par l’assurance, selon le type d’offre choisie. Enfin, que ce soit pour une hospitalisation sur place, l’achat de médicaments et même si besoin, d’un rapatriement, l’assurance voyage représente une solution tout à fait salvatrice. La signature du contrat peut vous être proposée lors du choix d’un voyage sur mesure en Birmanie dans une agence de voyages spécialiste de la destination.
Quelques astuces pour bien choisir son assurance voyage
Nombreux sont les établissements qui offrent des prestations d’assurance voyage. Tout d’abord, on a les institutions bancaires. Par le biais des cartes bancaires, les voyageurs peuvent opter pour un contrat d’assurance pour leur séjour à l’étranger. Cette démarche est intéressante dans le cas où les risques sont plus ou moins limités, car la plupart du temps, la couverture de ce type d’assurance n’est pas vraiment étendue.
Ensuite, on les agence d’assurances qui présentent tout un éventail d’offres parmi lesquelles les voyageurs auront à choisir. La sélection devra se faire selon des critères comme :
le montant de l’assurance,
les risques couverts par le contrat,
les actions comprises dans le pack assurance telles que l’hospitalisation, le rapatriement, ou encore la prise en charge des frais d’avion.
Il est également possible pour le souscripteur de faire appel à un courtier en assurance pour l’aider à mieux choisir le contrat qui sera le plus en accord avec ses besoins et ses moyens.
Prendre tout de même les précautions nécessaires
La souscription à une assurance voyage pour un séjour en Birmanie n’exempte pas le voyageur de prendre les précautions nécessaires afin de rester en sécurité. La première chose à faire est de remplir correctement son carnet de vaccination avant le départ. Cela évitera les vacanciers à être vulnérables à certaines maladies spécifiques de cette partie du globe.
Ensuite, une collecte de renseignement sur le site internet de l’ambassade son pays d’origine est aussi fortement conseillé. On y trouve de précieuses informations sur la situation réelle au Myanmar, les zones à éviter absolument, ainsi que d’autres mesures de sécurité qu’il faudra savoir et appliquer lors d’un séjour en Birmanie.