L’équipe de rédacteurs de magazine-assurance à votre service ! Nous nous penchons sur toutes les informations possibles et imaginables sur les assurances afin de vous aider à faire le tri. Nous nous efforçons de vous offrir des articles de qualité afin de vous aider à mieux appréhender les enjeux de telle ou telle assurance.
Un conflit de voisinage, un litige avec un commerçant, une banque, une agence de voyage, etc., ce n’est généralement pas simple à gérer lorsque l’on n’est pas familier avec les procédures civiles et/ou pénales. C’est pourquoi le recours à un avocat est souvent nécessaire mais cela a un coût. Pour se prémunir face à ces risques, souscrire à une assurance offrant une garantie « protection juridique » est une précaution permettant donc de bénéficier de conseils juridiques et de l’assistance d’un avocat dans une procédure judiciaire.
Comment souscrire une assurance « protection juridique » ?
Une assurance «protection juridique » peut être souscrite directement par un contrat spécifique auprès d’un assureur. On peut le faire en ligne ou en se déplaçant dans une agence d’un assureur. Dans ce cas, les clauses précisant cette garantie sont très explicites avec, éventuellement, des clauses d’exclusion, comme pour tous contrats d’assurance. Ceci étant, cette protection juridique peut être déjà intégrée dans des contrats d’assurance habituels ayant un caractère obligatoire. C’est souvent le cas des contrats d’assurance automobile et des contrats habitation. Ce sont des clauses additionnelles à l’objet principal du contrat ou dans son champ d’applcation. Ainsi si une clause « protection juridique » est intégrée dans un contrat d’habitation, elle pourra se limiter aux éventuels conflits liés à l’habitation, ce qui signifie, par exemple, qu’un litige avec un commerçant ne sera pas couvert par cette clause, pour le cas d’un contrat d’assurance automobile, cette clause additionnelle se limitera aux conflits, hors sinistre, liés à l’usage de votre véhicule. A noter que certains contrats qui ne sont pas à la base des contrats d’assurance peuvent proposer cette garantie. Ainsi certains cartes bancaires intègrent cette prestation d’assurance dans leurs fonctionnalités.
Les types d’intervention de cette garantie.
Une assurance « protection juridique » prend généralement en charge :
– Conseil et information juridique
– Honoraires d’un avocat
– Les frais d’expertise
– Les coûts des procédures devant un tribunal.
Selon les types de contrat, vous pourrez choisir librement votre avocat ou l’avocat intervenant sera désigné par la compagnie d’assurance.
Néanmoins, il faut savoir que, comme pour tous contrats d’assurance, certaines limites sont souvent prévues. Généralement, elles concernent :
– Limite, par exemple, à certaines procédures uniquement civiles et non pénales
– Exclusion des litiges avec un montant inférieur à un seuil
– Fixation d’un plafond financier d’intervention de l’assurance
– Plafond du montant des honoraires d’avocat
– Limite territoriale, par exemple, la France métropolitaine.
D’une façon générale, ce type de protection permet, à tous moments, d’obtenir des informations juridiques sur tous les sujets liés à cette assurance, même en dehors de tous engagements de procédure, et pourra vous proposer des solutions amiables pour tous conflits naissant avec un tiers. Cette garantie offre aussi une assistance si vous êtes « attaqué » en justice afin d’être représenté par un avocat mandaté par la compagnie d’assurance ou que vous allez librement choisir. En outre, votre assureur pourra aussi, en votre nom, entamer une action en justice si vous avez subi un préjudice du fait d’un tiers.
Une anticipation de bon sens.
Personne n’a envie d’être engagé dans un conflit avec un tiers et dans des procédures mais l’expérience montre que ce type de problèmes sont courants et sont à la fois anxiogènes lorsque l’on n’est pas assisté et peuvent coûter très cher si l’on fait le choix de se défendre seul, ou devoir faire face au coût total d’une procédure. Souscrire une assurance « protection juridique » est donc une précaution de bon sens dont le coût est généralement très abordable pour toutes les bourses
Représentant un moyen de faire une épargne pour les ménages français, l’assurance vie promet d’importants avantages fiscaux. Il s’agit d’une forme de placement financier qui permet aux bénéficiaires de toucher une somme d’argent lorsqu’un évènement vient à se produire, notamment le décès du souscripteur. De nombreuses questions viennent alors à se former quand nous parlons de contrat d’assurance. Mais, l’interrogation la plus fréquente est : combien allez-vous obtenir de ce contrat ?
Qu’est-ce qu’une assurance vie ? Comment fonctionne-t-elle exactement ?
La majorité des Français décide de souscrire un contrat d’assurance grâce aux nombreux avantages qu’elle promet. Par définition, cette assurance se traduit comme un produit d’épargne permettant à la personne assurée de profiter de plusieurs intérêts. Ces derniers dépendent généralement du capital investi.
Le fonctionnement d’un contrat d’assurance reste simple. Dès que vous avez souscrit ce type d’assurance, vous êtes le premier bénéficiaire ainsi que le principal propriétaire de vos fonds. Vous avez la possibilité de récupérer votre investissement avec les intérêts à la fin de votre contrat. En cas de décès, le contrat est dissout et la somme avec les intérêts va être transférée directement aux bénéficiaires que vous avez choisis.
Quel type de contrat choisir pour son assurance ?
Si vous avez décidé de souscrire une assurance vie, vous disposez de deux sortes de contrats. Pour vous informer sur les différentes sortes de contrat, vous pouvez voir ce site spécialisé.
Le contrat multisupport
Pour un contrat multisupport, votre placement va servir d’investissement pour des produits en relation avec la bourse tels que les actions, les obligations, les fonds, etc. Les versements que vous avez réalisés deviennent des unités de compte sur le marché financier. Malgré les rémunérations que vous pouvez obtenir, ce type de contrat comporte de nombreux risques.
Le contrat monosupport en euros
Ce contrat d’assurance vie est un investissement simple qui permet de revaloriser les sommes investies chaque année. Les produits d’investissement sont des obligations d’État. Contrairement au précédent contrat, votre capital est garanti avec les intérêts.
Les avantages de choisir une assurance vie
Classée comme étant un produit d’épargne multifonctions, l’assurance est efficace quand vous voulez faire fructifier votre capital. Les Français prennent la décision d’investir dans ce type de placement comme préparation à la retraite et épargne de précaution. Si vous avez des enfants et un conjoint, sachez qu’ils peuvent devenir les premiers bénéficiaires de votre contrat d’assurance. Ce dernier devient donc un outil patrimonial d’exception, car vous pouvez transmettre votre capital par voie de succession. Le privilège de l’assurance, c’est que vous êtes libre de choisir le bénéficiaire. Que ce soit vos petits-enfants, vos enfants ou votre époux, les bénéficiaires peuvent aussi être des personnes qui ne font pas partie de votre famille.
Assurance vie et fiscalité
La fiscalité représente un avantage important de choisir un contrat d’assurance. Si vous ne faites pas de retrait pendant la totalité de votre contrat, les revenus perçus ne sont pas imposés. Lorsque vous décidez de faire un rachat, aussi bien partiel que total, vos intérêts vont être soumis à des impôts.
Au sujet de la fiscalité, seuls les intérêts générés par les versements à partir du 27 septembre 2017 sont soumis au PFU ou prélèvement forfaitaire unique. Quand le retrait est effectué sur un contrat âgé de moins de 8 ans, les intérêts sont soumis au même barème que l’impôt sur le revenu. Le pourcentage d’imposition est de15 % pour 4 à 8 ans et 35 % lorsque le prélèvement se fait sur 4 ans.
Au sujet des contrats datant de plus de 8 ans, les intérêts sont imposés par le prélèvement forfaitaire libératoire avec un pourcentage de 7,5 %.
Quelle somme pouvez-vous toucher pour une assurance vie ?
Étant donné qu’il s’agit d’un produit d’épargne, vous faites un investissement qui génère des intérêts. Il faut préciser que le souscripteur est en mesure de retirer son argent à tout moment en réalisant un rachat. Concernant le versement des primes, le traitement de la fiscalité influence la somme perçue par les bénéficiaires. Pour l’argent investi avant 70 ans, le souscripteur ou le bénéficiaire doit s’attendre à un abattement de 152 500 euros sur le capital. Pour une somme d’argent versée après l’âgé de 70 ans, l’abattement appliqué est de 30 500 euros par bénéficiaire. Vous devez donc vous attendre à ces abattements avec le pourcentage imposé sur le capital.
L’assurance vie est un produit aux multiples facettes et doit correspondre au réel besoin du souscripteur. En tant que produit d’épargne, il demande de la part du gestionnaire un grand professionnalisme et capacité de gestion. Les contrats sont divers en forme et dans leurs buts poursuivis. Le consultant informatique en assurance vie intervient pour parfaire toutes les démarches administratives et légales permettant la dispense d’une assurance vie intéressante.
« Sauvons plus de vies sur nos routes ». C’est la phrase qu’il fallait retenir du Premier Ministre Edouard Philippe lors de son allocution du 9 janvier 2018. C’est ce jour même que son gouvernement a présenté de nouvelles mesures de sécurité routières afin de sensibiliser les automobilistes et les motards aux dangers de la route. Alors quels sont les chiffres des motards tués sur la route et pourquoi le gouvernement insiste sur la réglementation de l’assurance moto ? C’est ce que nous allons voir au travers de cet article !
2017, une année meurtrière sur les routes !
Si le Premier Ministre Edouard Philippe a choisi ce début d’année pour faire son allocution sur les nouvelles mesures de sécurité routière, c’est certainement en réaction suite à la publication de chiffres alarmistes concernant le nombre de personnes tués sur les routes françaises. En effet, 2017 est une année particulièrement meurtrière en France avec pas moins de 3477 morts sur la route. Un nombre en constante hausse depuis 2013. Avec ces chiffres, la France se place comme une mauvaise élève de l’Europe puisqu’elle compte plus de tués sur la route que la Belgique, la Suisse, l’Espagne ou encore la Suède et la Norvège.
De nouvelles mesures prises pour la sécurité des conducteurs et motards
Face à ces chiffres alarmistes, le gouvernement d’Edouard Philippe a dévoilé des mesures de limitations de vitesse qui ont beaucoup fait réagir sur les réseaux sociaux, au premier rang desquelles figure une nouvelle limitation de vitesse qui entrera en vigueur le 1er juillet 2018. La nouvelle réglementation limitera donc la vitesse à 80 kilomètres/heure sur les axes routiers secondaires contre 90 kilomètres/heure actuellement en vigueur.
En plus de cela, le gouvernement prévoit 4 nouvelles mesures pour baisser la mortalité qui touche les motards :
Autorisation d’allumer les feux de brouillard en plein jour dans l’optique d’être plus vite repéré par les automobilistes sur la route ;
Sensibilisation des jeunes motards quant à l’usage de meilleurs équipements, notamment en termes de combinaison ;
Révision des modalités d’obtention du permis motard ;
Mise en place de rendez-vous pédagogique avec les parents de jeunes motards mineures.
L’assurance moto, un indispensable de tout motard !
Autre point mis en avant par les chiffres de sécurité routière 2017, une minorité grandissante de motards circulerait sans assurance moto. Un constat qui inquiète les autorités quand on sait qu’avec 734 motards tués en 2017, ils représentent à eux seuls 21% de la mortalité routière !
Parmi les garanties de base proposées par l’assurance moto, on compte :
Une responsabilité civile pour réparer les dommages matériels et corporels causés à des tierces personnes ;
Une garantie couvrant les dommages corporels du motard en cas de blessure ou d’incident ;
Une assistance 24/7 en cas de panne ou d’accident.
A cela, s’ajoute des garanties complémentaires auxquelles on peut souscrire au travers d’une assurance moto tout risque, à savoir :
Une garantie bris de glace en cas de dégradation de votre véhicule par un tiers ou lors d’un sinistre quel qu’il soit ;
Une garantie sur l’équipement du motard que ce soient ses bottes, sa combinaison, son pantalon, ses gants, etc. ;
Une dernière garantie sur le casque, pièce maîtresse de l’équipement du motard et qu’il convient de changer dès lors qu’un accident suivi d’une chute survient.
Nous espérons que les détails sur l’importance de l’assurance moto et les raisons pour lesquels le gouvernement y attache une telle importance sont plus clairs pour vous. A très bientôt pour de prochains articles dédiés à l’actualité de l’assurance moto !
De nos jours, il est possible de trouver un crédit auto modique de façon plus simple. Il suffit de chercher parmi les offres en ligne. Et pourtant, force est de constater que toutes les offres ne sont pas équivalentes. Il faut ainsi se faire aider par un site dédié pour mettre la main plus facilement sur la meilleure offre. En ce sens, des plateformes dédiées comme CreditVehicule.fr ont été conçues pour rendre les tâches beaucoup plus simples. Cependant, il reste toujours quelques emprunteurs qui n’arrivent s’en sortir, et pour qui la recherche n’est pas une mince à faire. Alors, vous qui êtes notamment dans ce genre de situation, voici quelques indications qui peuvent vous être utiles.
Les critères à prendre en compte pour bien choisir le crédit auto
Pour bien choisir votre contrat de crédit auto, vous ne devez pas comparer votre situation à ceux des autres emprunteurs. Les TAEG ne sont pas les mêmes d’un particulier à un autre. En d’autres termes, un prêt-auto est personnel.
Afin d’être sûr de faire le bon choix, vous devez savoir évaluer vos besoins et vos possibilités. Les simulations en ligne peuvent vous aider en ce sens.
Attention, un crédit auto vous engage. Ainsi, vous devez savoir faire la part des choses pour éviter le surendettement.
Leasing ou crédit à la consommation ?
Dans la majorité des cas, les Français préfèrent recourir à un crédit à la consommation pour le financement de leur projet. Cela leur permet de mieux gérer leur compte. Mais il faut dire que les banques sont de plus en plus exigeantes quant à la qualité des profils emprunteurs qui peuvent aspirer à ce genre de prestation. Notamment, si vous n’avez pas une possibilité d’endettement de 30 %, les chances d’obtenir un prêt sont assez minces.
C’est la raison pour laquelle le leasing a de plus en plus le vent en poupe. Une sorte de crédit avec option d’achat ou de location vente d’une voiture, ce genre de service permet d’étaler le prix d’achat de la voiture sur plusieurs années et à des taux minimes. Tout ne dépend plus que de vos envies.
Le crédit renouvelable pour financer l’achat d’une voiture
Il est également possible de recourir à un crédit renouvelable pour le financement de sa nouvelle voiture. C’est une option plus simple, et plus rapide surtout que les constructeurs ou concessionnaires automobiles proposent des facilités de paiement actuellement. Vous avez ainsi la possibilité de payer petit à petit, par mois, vos quatre roues.
Cependant, plus votre crédit dure, plus vous payerez en taux d’intérêt. Et c’est le risque avec un crédit renouvelable. Si vous avez besoin de faire des réparations importantes, ou d’acheter un nouveau véhicule de grande marque, cette solution peut vous conduire à la ruine. Car plus vous aurez besoin du temps en remboursement, la somme octroyée mensuellement étant infime. Plus de détails,www.complement-de-revenu.guide
Ainsi, la meilleure façon de financer l’achat d’une nouvelle voiture, c’est de s’y préparer bien à l’avance, mettre de l’argent de côté, pour avoir la somme suffisante à l’acquisition ou faire un apport personnel à la banque.
Souvent considéré comme facultatif, l’apport personnel n’en demeure pas moins un critère facilitant l’obtention d’un crédit immobilier. La banque de France souhaiterait mettre en place un plafonnement du ratio prêt-valeur (LTV) pour sécuriser les emprunts. Cela permettrait d’écarter les ménages les moins solvables et d’éviter les spéculations immobilières.
Une garantie financière pour les prêteur
Fonds propres issus de l’épargne des particuliers, l’apport personnel permet d’acquérir des biens en complément d’un prêt immobilier. Bien qu’il soit facultatif lors d’un emprunt, les banques privilégient ce facteur dans l’ensemble des demandes qu’elles traitent. Elles y voient une garantie supplémentaire de la bonne gestion financière des comptes du client et une somme réduite à prêter.
L’autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a estimé qu’en moyenne l’apport personnel représentait 14 % du montant du bien. Un chiffre supérieur à leur précédente exigence qui fixait le taux de cet apport à 10 %, sans inclure les frais de notaire et autres dépenses liées.
Cependant, les conditions d’emprunt particulièrement favorables de ces derniers mois incitent les banques à être moins strictes concernant ce critère. Des circonstances qui poussent la Banque de France à se poser la question de la nécessité de l’apport personnel.
Anticiper les crises immobilières par l’apport personnel
La réflexion de la Banque de France au sujet de la nécessité de l’apport personnel a pour but d’endiguer la spéculation immobilière. En effet, compte tenu des taux du prêt immobilier bas ces derniers temps, de nombreux particuliers peuvent vouloir franchir le pas. Et ce même si leur taux d’endettement dépasse le plafond des 33 % accordé par les banques.
Afin d’éviter cela, l’institution souhaiterait instaurer le plafonnement de l’apport personnel comme cela est déjà le cas dans d’autres pays européens. Ce plafonnement du ratio prêt-valeur (LTV) impacterait le nombre de crédits immobiliers accordés par les établissements de prêt, étant donné que les ménages présentant des risques seront exclus.
De ce fait, certains frondeurs estiment que cette mesure pourrait réduire la croissance du marché immobilier. Toutefois, s’il y a une baisse du volume d’emprunts, les prix des biens devraient s’adapter en conséquence et donc diminuer. In fine, cela pourrait profiter aux ménages ne pouvant bénéficier d’un prêt immobilier, leur épargne pouvant répondre à leur besoin d’apport personnel. Un scénario intéressant, mais dont l’ampleur est encore à démontrer.
La sécurité est essentielle dans une maison. La mise en place d’un système de vidéosurveillance permet de décourager les voleurs. Cela vous permet de vous sentir plus serein et en sécurité dans votre maison. L’un des avantages offerts par ce genre de système de surveillance est la possibilité de payer moins cher sur l’assurance habitation.
Une assurance habitation abordable
La télésurveillance commence à prendre de l’ampleur en France. Elle permet de dissuader le voleur et décourager les actes de vandalisme. Les compagnies d’assurance ont compris l’enjeu d’installer des enregistreurs vidéo dans la maison. Ce type de dispositif de sécurité réduit les vols et les vandalismes, et renforce la sécurité dans votre maison. Les occupants se sentent plus en sécurité. Les assureurs proposent une réduction pour les clients qui optent pour l’installation d’un système de vidéosurveillance au sein de l’habitat. Ainsi, l’assurance habitation de votre appartement peut être revue en baisse. Il faut savoir que le rabais octroyé par les assureurs est vraiment très intéressant. Vous pouvez profiter d’une réduction jusqu’à 15 % de la cotisation. Certaines compagnies proposent même de supprimer la franchise habitation. Les assureurs vont plus loin en simplifiant l’accès à ce genre de système de sécurité.
Le Système de vidéosurveillance est-il obligatoire ?
Même si l’assurance habitation est obligatoire, la mise en place d’un système de télésurveillance ne l’est pas. Toutefois, il est possible que son installation soit imposée. En effet, l’efficacité des systèmes de vidéosurveillance justifie le fait qu’ils sont essentiels pour la sécurité de la maison. Ainsi, au moment de la souscription à un contrat d’assurance habitation, l’assureur peut demander l’installation d’un système de vidéosurveillance dans votre logement. Ce genre de cas de figure peut se produire quand la compagnie estime que le risque de cambriolage de votre maison est élevé. Si vous ne répondez pas à l’exigence de la compagnie d’assurance, le montant de l’indemnisation peut être réduit et vos droits de garantie risquent d’être annulés. Vous avez l’embarras du choix en ce qui concerne le système de télésurveillance conecticplus. Vous pouvez opter pour la caméra dôme, HD, infrarouge, motorisée, etc.
Les conditions pour que la vidéosurveillance soit imposée
La sécurité de la maison est devenue à l’heure actuelle une priorité pour les propriétaires. Votre compagnie d’assurance vous impose l’installation d’un système de télésurveillance à condition que vous possédiez des meubles et des objets de grande valeur dans votre maison. La pose d’un système de vidéosurveillance est parfois imposée au moment de la souscription à une assurance habitation au cas où vos voisins seraient à proximité de votre habitation ou si votre logement se trouve dans une zone sensible et facile d’accès. Notez que même si la télésurveillance a un coût, elle offre de nombreux avantages, notamment la possibilité de réduire le montant de votre assurance habitation. Pensez à comparer les devis avant de souscrire à une assurance.
C’est un constat qu’ont fait de nombreux emprunteurs ayant fait racheter leur prêt immobilier ou ayant bénéficié d’un regroupement de leurs emprunts, l’assurance représente parfois le coût le plus important du financement. Lumière sur ce marché juteux et pas toujours en accord avec les besoins de l’emprunteur.
Un taux de crédit bas peut cacher une assurance coûteuse
L’assurance emprunteur n’est aucunement une obligation en France, c’est simplement fortement conseillé, mais autant se le dire, sans assurance, aucune banque n’est prête à accorder un financement sauf si une garantie très solide est proposée en retour. Aussi, la baisse des taux constatée en 2016 et prolongée sur l’année 2017 a entrainé une vague de renégociation de crédit et de rachat de prêt immobilier sur l’Hexagone. Simplement, les taux étant très bas et les marges des banques étant aussi réduites, ces dernières ont dû trouver des parades pour faire face à ce manque à gagner et l’assurance est le produit parfait pour faire de la marge. Les banquiers ont donc profité de l’occasion pour attirer des emprunteurs et leur proposer le taux le plus bas, mais ces derniers focalisés sur le taux du crédit en ont oublié le taux de l’assurance. Conséquence, de nombreux emprunteurs se sont targués d’avoir négocié le taux le plus bas, à la limite des seuils des taux d’usure, mais ont bénéficié de couvertures à des tarifs très élevés, sans s’en rendre compte. Résultat, l’opération n’est plus si intéressante que cela, mais rien n’est perdu puisqu’il est encore possible de négocier une assurance moins chère, notamment depuis l’amendement Bourquin qui propose la résiliation d’assurance (voir ici).
Résiliation d’assurance de prêt : fonctionnement
Un emprunteur ayant une assurance de prêt ne convenant pas à ses attentes ou étant trop chère peut résilier cette dernière sous deux conditions. La première concerne la première année de souscription, il est possible pendant ces 12 mois de changer d’assurance pour une couverture proposant au minimum les mêmes garanties, c’est ce que propose la loi Hamon. La seconde est plus récente, issue de l’amendement Bourquin, elle propose une résiliation à chaque date anniversaire, sous condition d’adresser une lettre de résiliation deux mois avant la date échéance, l’idée étant de pouvoir changer de couverture suite à des abus, mais aussi pour relancer le marché de l’assurance et la concurrence sur ce secteur. Pour les emprunteurs ayant souscrit des assurances très chères lors de leur renégociation de crédit immobilier, ou de rachat, ils peuvent désormais se délecter de cette couverture en faisant appel par exemple à une compagnie d’assurance ou à un courtier spécialisé. Comme toute demande de tarification, il est essentiel de comparer le coût des deux offres en se basant sur le coût total restant dû, mais aussi sur le TAEA (taux annuel effectif de l’assurance) que l’on peut assimiler au TAEG sur les taux de crédit.
Pour faire une demande de rachat crédit, à l’image de tous les autres types de crédit, il faut s’adresser exclusivement à un établissement de crédit : une banque ou encore un organisme spécialisé. La procédure de souscription est soumise à certaines étapes préalables.
Se renseigner et comparer les offres avec un simulateur
Avant de contacter les banques et les organismes de crédit, il est préconisé de se renseigner sur les conditions et les modalités de leurs offres. Il faut savoir que chaque établissement dispose d’une proposition de crédit qui lui est propre, avec des offres et des taux d’intérêt toujours distincts. Bien évidemment, s’agissant d’un rachat de crédit, nombreux s ont ceux qui préfèrent s’adresser à la banque qui leur est déjà familière. Cependant, toujours est-il qu’il est plus judicieux de les taux les plus bas. Ainsi, l’emprunteur pourra se réserver une petite marge de manœuvre, tout en s’assurant de pouvoir rembourser l’emprunt.
Pour ce faire, des simulations de prêts sont disponibles sur plusieurs sites des établissements de crédit. À travers cette simulation, vous serez informée du taux requis pour la totalité de votre rachat de crédit et de la durée du prêt. Cette simulation n’engagera en rien l’emprunteur, il lui servira uniquement de devis pour se situer et pour choisir au mieux l’offre qui lui conviendrait.
Par ailleurs, les résultats de cette simulation seront similaires aux données recueillies par l’établissement après avoir elles-mêmes réalisé la simulation. Pour en savoir plus, il suffit de se renseigner sur les sites des banques et des établissements financiers.
L’offre de rachat de crédit : ce qu’il ne faut pas manquer
Le rachat de crédit est un système mis en place pour accompagner l’emprunteur surendetté afin qu’il puisse retrouver une stabilité financière. Dans certains cas, il est même question de lui permettre de faire des économies. Mais pour ce faire, il faut faire preuve d’une certaine vigilance dans le processus.
Le rachat de crédit consiste essentiellement en un regroupement de plusieurs crédits souscrits en un seul. La vigilance doit alors se porter en particulier dans le cadre de la restructuration des crédits. Les prêts en cours, souvent, seront restructurés suivant de nouveaux paramètres, qui vont englober la nouvelle mensualité, le taux unique proposé et le nouveau délai de remboursement. Le principe est simple, pour que l’opération reste avantageuse, le capital ne doit pas être beaucoup trop élevé, sinon, le risque est grand de voir l’emprunteur aller vers une situation d’endettement encore plus profonde que la précédente.
Le nouveau délai proposé peut également être un piège. Le délai ne doit pas être trop long bien que prolongé. Une fois que le délai est trop étendu, sachez que le capital à rembourser va se renflouer. Et enfin, les frais mériteront également réflexion et calcul. La règle veut que ces frais soient intégrés dans le processus de la restructuration.
Le plus souvent, afin d’éviter de jouer sur les enjeux du rachat de crédit, il est préférable de recourir aux outils de simulations proposés par les sites d’établissement financier.
Comprendre le contrat d’assurance-vie dans tous ses détails
Un contrat d’assurance-vie se décline en une convention par laquelle un assureur s’engage auprès de l’assuré, en contrepartie du paiement de primes, à verser un capital ou une rente dans le cas de vie ou en cas de décès d’une personne désignée, (généralement, l’assuré) au bénéfice de l’adhérent ou d’un tiers (soit le bénéficiaire). L‘assurance-vie est un moyen de faire fructifier un patrimoine financier. Il peut également être un moyen de constitution d’un nouveau patrimoine, via des versements libres ou pré établis. Il faut savoir que l’assurance-vie jouit d’un cadre fiscal avantageux, tant en investissement financier qu’en droits de succession.
Les différents frais requis par l’assurance-vie
Lors du versement, l’assuré doit choisir sur quel type de fonds il va déposer ses économies, soit le fonds garanti ou les Unités de Comptes. De son côté, l’assureur va prélever des frais. Il s’agit des frais sur versement, également appelés frais d’entrée. Ces frais peuvent être compris entre 0%, pour les meilleures assurances vie, et 5%, pour les plus chères. Dans la pratique, les frais sur versement font diminuer le montant de l’épargne réellement investi sur l’assurance-vie. Aussi, les sommes investies en tant qu’assurance-viesubiront chaque année des frais de gestion. Ces frais rémunèrent l’assureur de sa prestation de gestion de l’épargne. Ils peuvent être compris entre 0,4% et 1%. De tels frais de gestion font diminuer l’épargne sur l’assurance-vie.
Un contrat d’assurance-vie moins chère via un comparateur d’assurances
L’assurance-vie, en tant qu’outil d’épargne et de transmission du capital, est tout simplement le placement préféré des Français. Comme il propose différents types de produits et contrats, tout en étant un contrat complexe, trouver le contrat le moins cher passe inexorablement par un comparateur d’assurances. Un tel outil permet de comparer gratuitement les contrats d’assurance-vie de plusieurs assurances. Pour ce faire, il faut remplir un questionnaire d’assurance-vie, qui ne prendra que 2 minutes. Aussi, souscrire un contrat d’assurance vie moins cher à travers Internet occasionne des frais nettement moins élevés. Par contre, la souscription d’un contrat d’assurance-vie avec un conseiller impliquera le paiement des frais de gestion, inexistants pour les contrats Internet.
L’assurance-vie sur Internet ou comment bénéficier d’une qualité de conseils
Sur Internet, la souscription à un contrat d’assurance-vie est réglementée par le Code des Assurances. De véritables experts conçoivent et réalisent une vraie analyse et consultation du dossier d’assurance-vie. Aussi, les contrats d’assurance-vie proposés sur Internet offrent et proposent les mêmes garanties que les contrats signés en agence. La rentabilité de tels contrats paraphés sur le Web provient surtout des frais d’entrée inexistants. Aussi, les contrats d’assurance-vie sur le Net affichent des rendements pouvant atteindre les 4,1 % si pour les contrats traditionnels, ils rapportent dans les 3,2 à 3,4%. De toute évidence, le contrat d’assurance-vie sur Internet revient à la fois moins cher, pour être davantage rentable. Et pour le faire revenir moins cher, le futur assuré doit comparer les offres multiples existantes sur le marché.