Tour d’horizon de l’assurance animale

L’assurance animale a des beaux jours devant elle selon les derniers chiffres. La France est un pays de domestication.

60 millions d’amis

C’est sans doute l’un des caractéristiques des Français, ils aiment les animaux. Ils aiment élever les chiens et les chats. Et depuis quelque temps, d’autres races sont venues embellir les familles. Les chiffres sont sans équivoque. Il y a plus de 20 millions de toutous et de matous habitant dans les foyers du pays selon www.unilia-mutuelle.fr. De plus, ces derniers leur réservent une belle part du budget familial. Jusqu’à réserver un cadeau de Noël pour la boule de poils ou de lui offrir une belle fête d’anniversaire comme un vrai humain. Et cela n’est rien à côté des entretiens et des soins vétérinaires. Sur ce point, les propriétaires n’hésitent pas à faire le maximum. Dans le secteur de l’assurance animale, c’est presque la même tendance.
Le marché de la mutuelle pour animal est en train de pointer vers le haut. Avec une croissance de 25 %, le rythme est de plus en plus soutenu. D’ici une dizaine d’années, les compagnies d’assurance se frottent déjà les mains face à leur prévision. Sur le marché, des compagnies se spécialisent uniquement dans cette filière. Les spécialistes de la couverture animale ont bien raison. Les chiffres sont encore loin de ce qui se passe chez les voisins européens. Par exemple, en Suède, 80 % des animaux domestiqués sont soumis à une assurance. En Angleterre, 50 % des animaux de compagnie sont souscrit à une mutuelle. Chez ces pays, l’assurance familiale concerne aussi l’assurance animale. Dans la maison, bipède et quadrupède logent tous dans la même mutuelle.


Les nouveaux venus

L’évolution de l’assurance animale se tourne vers d’autres espèces. Les chats et les chiens ont déjà leur niche. Les chevaux, ce n’est plus compliqué de le couvrir. L’avènement des animaux exotiques a changé la donne. Le furet, le lapin, le cochon d’Inde et le chinchilla occupent le haut du pavé. Ces espèces sont de plus en plus célèbres auprès des familles. Comme le lapin qui est passé du stade de plat des bonnes ripailles à une boule de poil devenue membre de la famille. Chose étonnante, la poule est en train de prendre de l’ampleur dans le marché de la couverture. Et chose encore plus étonnante, les assureurs offrent des mutuelles pour ces types d’animaux. C’est dire, les mœurs animalières ont évolué en quelques années.
Des récentes études ont permis de lire la structure familiale française à travers la possession d’untel ou untel animal. Tout d’abord, il y a plus de 60 millions animaux domestiques en France. Soit une famille sur deux possède une bête de compagnie. Le poisson est le plus prisé. Car facile à élever et ne nécessitant pas beaucoup de dépense. Sauf pour les élevages plus élaborés comme dans les aquariums ou les grands bassins. Ainsi, les chiens se retrouvent souvent dans les familles avec papa, maman et enfant. Toujours selon les spécialistes, un animal élevé à la campagne serait plus épanoui qu’un animal élevé dans les grandes villes.

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